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20 Apr 2018

"Le lion, le lys et la croix", la relecture et les corrections se poursuivent.

Le long travail de relecture et de correction se poursuit. Je vous propose, à nouveau, le début du chapitre I. Il y a de nombreuses modifications par rapport à la première version. Mais le travail est encore loin d'être achevé... Cette nouvelle mouture n'est sans doute pas définitive...

I MONTGEY

Le soleil, à son zénith, écrasait Lavaur et la campagne qui la ceinturait. Face à la silhouette massive de la cité, Philippe de Morteban s’était assis à l’ombre, sous un arbre. Aucun souffle d’air ne venait atténuer la chaleur étouffante qui pesait, comme une chape de plomb, sur le camp croisé, au milieu duquel il attendait, depuis une petite heure déjà, son ami Raymond de Toulouse. La toile des tentes ne bougeait pas d’un pouce, pas plus que les sentinelles statufiées qui suaient, à grosses gouttes, sous leur casque de métal. Aucun bruit ne troublait le silence. Tous ceux qui le pouvaient restaient à l’abri du soleil et profitaient de la parenthèse qui leur était offerte pour prendre du repos.

Autour de lui, quatre papillons multicolores virevoltaient avec élégance, d’une herbe haute à un tronc d’arbre, d’un rocher à l’une des rares fleurs que les soldats n’avaient pas encore piétinées. Totalement étranger au drame qui se jouait, leur joyeux ballet faisait contrepoids au temps suspendu dans lequel se perdaient les hommes. Il les observa, un court instant, broyé par la terrible indifférence de la nature, puis reporta ses pensées vers la discussion qui venait de s’engager, dans le pavillon où Raymond de Toulouse s’était invité. Il scruta alors la ville avec intérêt.

 Derrière ses remparts impressionnants, Lavaur, sur sa rive escarpée qui dominait l’Agoût, lui parut, elle aussi, engluée dans une torpeur, frisant le sortilège. Un calme trompeur émanait d’elle. Son cœur se serra à l’idée du désarroi qui, pourtant, devait miner le moral de ses habitants.

Il doutait, malgré lui, de la capacité de Raymond à imposer ses arguments à Simon de Montfort. Ses chances de le contraindre à rompre le siège lui semblaient quasiment nulles, et ce, en dépit du fait que l’ost ne soit pas en mesure d’interdire totalement les entrées et les sorties dans la place mal ceinturée. Par deux fois, déjà, la ville avait reçu des renforts qui n’avaient rencontré aucune difficulté à franchir les lignes croisées.

L’entrevue lui paraissait vouée à l’échec — Montfort avait trop d’orgueil pour accepter qu’on lui dicte sa conduite — mais il éprouvait une profonde admiration pour la constance et l’acharnement dont son ami faisait preuve. À vouloir intervenir personnellement dans des tractations qui ne le concernaient en rien — il n’était pas le suzerain des seigneurs de Lavaur — il s’exposait plus que nécessaire. Le danger ne venait plus tant de l’Église — sa rupture avec les légats du Pape, qu’il avait longtemps ménagés pour ne pas voir ses terres mises en proie, était prononcée — que de la réaction de ses nouveaux partenaires. Ils accepteraient mal sa volonté de s’imposer comme médiateur dans le conflit qui opposait Lavaur à la croisade. En agissant de la sorte, il fragilisait sa précaire et inconfortable position au sein du camp occitan qu’il n’avait rallié que fort tardivement. On le lui reprochait, sans relâche, toutes les fois que l’occasion s’en présentait. Il avait trop longtemps composé avec l’ennemi pour qu’on le traite comme un allié fiable. Beaucoup le méprisaient et considéraient toutes ses intentions, ou démarches, avec suspicion. Son acharnement à rechercher, à tout prix, un accord avec les Français le rendrait plus suspect encore et, à n’en pas douter, délierait, à ses dépens, la langue de ses rivaux. Conseiller à Montfort de céder face à Lavaur pour disposer des forces nécessaires à imposer sa loi sur le Carcassonnais frisait, en effet, la trahison. 

            Raymond n’avait cure de tout cela. Philippe le soupçonnait même de prendre un certain plaisir à ne pas se conformer au rôle que ses alliés entendaient lui attribuer. Peu lui importait la désapprobation des siens face à la satisfaction de contraindre Montfort, l’homme qui l’avait trop longtemps écrasé de son mépris et qu’il exécrait, à suivre ses avis. 

            Tout à ses pensées, il sursauta presque lorsqu’il vit Raymond sortir avec fracas de la tente de Simon et s’avancer vers lui, les traits déformés par la colère et l’humiliation. Avant même qu’il ouvre la bouche, il sut qu’une fois encore, malgré tous ses espoirs et les efforts qu’il avait dû déployer, sa médiation se concluait par un échec. Il en fut désolé pour lui, tout autant que pour Lavaur. Il se leva, alla à sa rencontre et posa, malgré tout, la question de rigueur.

            – Alors ?

            Raymond le prit par l’épaule et l’entraîna vers leurs chevaux qui paissaient à quelques mètres de là, sous trois arbres au feuillage rabougri.

            – Venez ! Partons, sans tarder, de cet endroit maudit !   

            Sachant fort bien que le presser davantage, pour étancher sa curiosité, ne servirait à rien, il se contenta de le suivre en silence et d’adapter sa marche au pas lourd de son ami.   

            Ce n’est qu’une fois sur la route de Toulouse qu’il obtint une réponse.

            – Ce chien tient absolument à prendre Lavaur par les armes ! Il refuse d’accepter mes propositions. Il n’a cessé de me répéter qu’il entendait être le maître chez lui.

– Vos cousins de Courtenay vous ont-ils apporté une aide ?

– J’aurais préféré les voir au diable ! Ils se sont, comme prévu, rangés derrière Montfort, en me conseillant de me mêler de mes affaires et de me soumettre à l’Église.

– Je suppose que vous vous êtes emporté ?

– Vous me connaissez Philippe. Je parviens à modérer mes réactions lorsque c’est nécessaire ! Je suis resté de marbre. Si j’avais explosé, Montfort en aurait tiré trop de satisfactions. Je n’ai pas non plus cherché à outrepasser mes prérogatives. Je sais, fort bien, que la ville doit une entière obéissance à Montfort puisqu’elle appartenait à Trencavel qu’il a dépouillé. J’ai tenté ce que j’ai pu pour lui porter secours. J’ai échoué.

Philippe hocha la tête. L’entrevue ne pouvait s’achever qu’ainsi. La suite des événements était facile à deviner.

– Il ne nous reste donc plus que la solution des armes.

– En effet, cette fois, la guerre semble inévitable.

17 Feb 2018

Un titre pour le second tome de l'Ordalie

Le second tome de l'Ordalie s'intitulera LE LION, LE LYS ET LA CROIX, en référence aux trois principaux personnages historiques qui, en dehors des héros, tiennent le devant de la scène. A savoir : Simon de Montfort (le lion), le roi de France Louis VIII (le lys) et Raymond de Toulouse (la croix occitane).

 

31 Dec 2017

L'ordalie 2

Un nouvel extrait... 

La ville était en pleine effervescence. Sonore et grouillante, elle ressemblait à une ruche au travail. Du lever au coucher du soleil, depuis près de trois semaines déjà, les chemins de ronde, les escaliers qui y donnaient accès, les tours d’angles et les terrasses, étaient envahis par une masse impressionnante d’ouvriers. Tous les Toulousains, en âge de travailler, hommes, femmes, enfants, s’étaient fait un point d’honneur de répondre aux sollicitations de Raymond VI. Ils étaient, pour la plupart, bien malhabiles aux tâches qu’on leur assignait, mais leur détermination, sans faille, leur permettait, tant bien que mal, de venir à bout des nombreux travaux de consolidation dont avait besoin leur ville. La besogne était colossale mais cela n’entamait en rien leur ardeur.

Depuis plusieurs décennies, l’enceinte fortifiée n’avait pas été entretenue. Par inconscience, ou par aveuglement, il en avait été de même lorsque la croisade s’était mise en branle contre les terres occitanes. Considérant la ville hors de danger, puisque le Comte s’était rapidement engagé dans les rangs croisés, les édiles, peu soucieux de dépenser inutilement leurs deniers, n’avaient pas jugé indispensable de faire les travaux nécessaires à sa conservation.

De loin, les murailles, impressionnantes, semblaient fiables. Mais, à mesure que l’on se rapprochait d’elles, pour mieux les jauger, on prenait très vite la mesure du délabrement des murs de briques rouges qui la composaient. Fragiles et vulnérables, ceux-ci avaient mal vieilli. On y trouvait d’anciennes brèches, colmatées, sans soin, avec du bois et du torchis. Il ne faisait aucun doute que ces matériaux, peu résistants, qui avaient, de surcroit, subis l’usure du temps, ne résisteraient pas à la première sape dont ils supporteraient l’assaut. Le travail de réfection et de consolidation se révélait donc gigantesque et sans fin, d’autant que les remparts s’étendaient sur une vaste distance et ne possédaient pas moins de cinquante tours et douze portes qui n’étaient pas en meilleur état. Pour couronner le tout, les fossés, qui cernaient la ville, s’étaient transformés, au cours du temps, en véritable dépotoir. À certains endroits, l’amoncellement des débris rendait accessible la base des remparts. La palissade qui ceinturait les lices était, elle aussi, en bien piteux état. Le bois, vermoulu, menaçait ruine.

 Les centaines de volontaires qui, à l’unisson, suaient, à grosses gouttes, sous l’ardant soleil, n’étaient donc pas de trop pour venir à bout d’un tel chantier. Tels des fourmis, s’activant en tous sens, sans logique apparente, mais œuvrant pourtant pour atteindre le même but, ils montaient, descendaient, transportaient ou soulevaient des charges auxquelles ils auraient refusé de s’attaquer en toutes autres circonstances. Il se dévouaient entièrement à la tâche commune, conscients de garantir, ainsi, leur sûreté face au danger qui, bientôt, frapperait à leurs portes. Les coups de marteaux, le ronflement des scies, le grincement et le cri strident des poulies, résonnaient du matin au soir, sur toutes les défenses de la cité. Au point que l’entrée, pourtant tant attendue, des troupes qui arrivaient de Foix, sous la conduite du Comte de Foix et du Comte de Comminges, passa presque inaperçue au milieu d’un tel tumulte. Contrairement à la coutume, personne ne cessa son travail pour accueillir triomphalement les soldats ariégeois. Le temps était compté. Rien, en effet, ne permettait d’affirmer que Simon de Montfort, malgré l’ordre donné, au frère du comte, de stopper son avancée à Montauban, ne serait pas sous leurs murs plus rapidement que prévu. Beaucoup de Toulousains estimaient, en effet, que Beaudoin avait peu de chance de retarder, longtemps, l’ost croisé. Les effectifs dont il disposait étaient beaucoup trop faibles pour y parvenir. Il leur fallait donc se hâter.

Illustration : le siège de Toulouse, mairie de Toulouse

 

 

25 Nov 2017

L'Ordalie, tome 2

Le long travail de correction du premier jet du tome 2 de l'ordalie continue lentement.

Voici un extrait du premier chapitre. Dites-moi ce que vous en pensez.

I MONTGEY

Un soleil de plomb écrasait Lavaur et la campagne qui la ceinturait. Face à la silhouette massive de la cité, Philippe de Morteban s’était assis à l’ombre, sous un arbre. Aucun souffle d’air ne venait atténuer la chaleur étouffante qui pesait, comme une chape de plomb, sur le camp croisé, au milieu duquel il attendait, depuis une petite heure déjà, son ami Raymond de Toulouse. La toile des tentes ne bougeait pas d’un pouce, pas plus que les sentinelles statufiées qui suaient, à grosses gouttes, sous leur casque de métal. Aucun bruit ne troublait le silence. Tous ceux qui le pouvaient restaient à l’abri du soleil et profitaient de la parenthèse qui leur était offerte pour prendre du repos.

Autour de lui, une multitude de papillons multicolores virevoltait avec élégance, d’une herbe haute à un tronc d’arbre, d’un rocher à l’une des rares fleurs que les soldats n’avaient pas encore piétinées. Totalement étranger au drame qui se jouait, leur joyeux ballet faisait contrepoids au temps suspendu dans lequel se perdaient les hommes. Il les suivit un moment du regard, broyé par la terrible indifférence dont la nature faisait ainsi preuve, avant de reporter ses pensées vers les enjeux de la discussion qui venait de s’engager dans le pavillon où s’était invité Raymond de Toulouse. Il scruta alors la ville avec intérêt.

 Derrière ses remparts impressionnants, Lavaur, assiégée depuis plusieurs jours, sur sa rive escarpée qui dominait l’Agoût, lui parut, elle aussi, engluée dans une torpeur frisant le sortilège. Un calme trompeur émanait d’elle. Son cœur se serra à l’idée du désarroi qui, pourtant, devait miner le moral de ses habitants.

Il doutait, malgré lui, de la capacité de Raymond à imposer ses arguments à Simon de Montfort. Ses chances de le contraindre à accepter un accord pacifique et de rompre le siège étaient quasiment nulles, et ce, en dépit du fait que l’ost croisé ne soit pas en mesure d’interdire totalement les entrées et les sorties dans la place assiégée. Pour preuve, par deux fois, déjà, la ville avait reçu des renforts qui n’avaient eu aucune difficulté à franchir les lignes croisées.

Bien que l’entrevue lui paraisse vouée à l’échec, ne serait-ce que parce que Montfort était trop imbu de lui-même pour accepter qu’on lui dicte ce qu’il avait à faire, il ne pouvait s’empêcher d’éprouver une profonde admiration pour la constance et l’acharnement dont faisait toujours preuve son ami. Sa ténacité et sa capacité à faire abstraction de tous les déboires qu’il avait déjà eus à subir, depuis le début du conflit qui ravageait les terres languedociennes, forçaient son respect. D’autant, qu’à vouloir intervenir personnellement dans des tractations qui ne le concernaient en rien -il n’était pas le suzerain des seigneurs de Lavaur- il s’exposait plus que nécessaire. Le danger ne venait plus tant de l’Église -sa rupture avec les légats du Pape, qu’il avait longtemps ménagés pour ne pas voir ses terres mises en proie, était prononcée- que de la réaction de ses nouveaux partenaires qui accepteraient mal sa prétention à vouloir s’imposer médiateur dans le conflit qui opposait Lavaur à la croisade. En agissant de la sorte, il fragilisait sa précaire et inconfortable position au sein du camp occitan qu’il n’avait rallié que fort tardivement. Ce qu’on lui reprochait, sans relâche, à chaque fois que l’occasion s’en présentait. Il avait trop longtemps composé avec l’ennemi pour qu’on le traite comme un allié fiable. Beaucoup le méprisaient et considéraient toutes ses intentions ou démarches avec suspicion. Son acharnement à rechercher, à tout prix, une alliance avec les Français le rendrait plus suspect encore et délierait, à ses dépens, la langue de ses rivaux. Conseiller Montfort de céder face à Lavaur pour disposer des forces nécessaires à imposer sa loi sur le Carcassonnais frisait, en effet, la trahison. 

Raymond n’avait cure de tout cela. Philippe le soupçonnait même de prendre un certain plaisir à ne pas se conformer au rôle que ses alliés entendaient lui attribuer. Peu lui importait la désapprobation des siens face à la satisfaction de contraindre Montfort, l’homme qu’il exécrait de toute la haine dont il était capable, celui qui, trop longtemps, l’avait écrasé de son mépris sans qu’il puisse réagir, à suivre ses conseils. 

Tout à ses pensées, il sursauta presque lorsqu’il vit Raymond sortir avec fracas de la tente de Simon et s’avancer vers lui, les traits déformés par la colère et l’humiliation. Avant même qu’il ouvre la bouche, il sut, qu’une fois encore, malgré tous ses espoirs et les efforts qu’il avait dû déployer, sa médiation se concluait par un échec. Il en fut désolé pour lui, tout autant que pour Lavaur. Il se leva, alla à sa rencontre et posa, malgré tout, la question de rigueur.

 - Et bien ?

  Raymond le prit par l’épaule et l’entraîna vers leurs chevaux qui paissaient à quelques mètres de là, sous trois arbres au feuillage rabougri.

 - Venez ! Partons, sans tarder, de cet endroit maudit !   

Sachant qu’il ne servait à rien de le presser davantage pour étancher sa curiosité, il se contenta de lui emboiter le pas en silence, adaptant sa marche au pas lourd de son ami.   

Ce n’est qu’une fois sur la route de Toulouse qu’il obtint une réponse.

- Ce chien tient absolument à prendre Lavaur par les armes ! Il refuse d’accepter mes propositions. Il n’a cessé de me répéter qu’il entendait être le maître chez lui et que je n’avais aucun conseil à lui donner.

- Vos cousins de Courtenay étaient-ils présents ?

- J’aurais préféré les savoir au Diable ! Ils n’ont cessé de faire le jeu de Montfort en me conseillant de me mêler de mes affaires et de me soumettre à l’Église.

- Je suppose que vous vous êtes emporté ?

- Vous me connaissez Philippe. Vous savez que je sais modérer mes réactions lorsqu’il le faut ! Je suis resté de marbre. Montfort aurait été trop content de me voir exploser comme j’en mourrais d’envie. Je n’ai pas non plus cherché à outrepasser mes prérogatives. Je sais fort bien qu’étant une ancienne possession de Trencavel la ville doit entière obéissance à Montfort. J’ai fait ce que j’ai pu, dans la faible marge dont je disposais.

Philippe hocha la tête. Il fallait admettre qu’une volonté, telle que celle que possédait le chef de la croisade, était impossible à faire fléchir. La fin de non-recevoir essuyée par le Comte n’était pas surprenante. Et la suite des événements facile à deviner.

- Il ne nous reste donc plus que la solution des armes.

- En effet, cette fois, la guerre est inévitable.

                                                          

 

 

11 Nov 2017

L'ordalie 2

Après Carcassonne, Minerve et Lastours (les trois lieux principaux où se déroule l'action de l'Ordalie 1) c'est Toulouse qui, cette fois, sera à l'honneur dans l'Ordalie 2. 

La ville rose a fait l'objet de plusieurs sièges, lors de la croisade albigeoise. C'est devant ses murs que Simon de Montfort a perdu la vie (un boulet lui fracasse le crâne).

Le long travail de relecture et de corrections continue... Le chapitre 1 est achevé. 

 

11 Nov 2017

L'ordalie 2

Après Carcassonne, Minerve et Lastours (les trois lieux principaux où se déroule l'action de l'Ordalie 1) c'est Toulouse qui, cette fois, sera à l'honneur dans l'Ordalie 2. 

La ville rose a fait l'objet de plusieurs sièges, lors de la croisade albigeoise. C'est devant ses murs que Simon de Montfort a perdu la vie (un boulet lui fracasse le crâne).

Le long travail de relecture et de corrections continue... Le chapitre 1 est achevé. 

 

27 Oct 2017

L'Ordalie, tome 2

Fin Août 2017 Iggybook me consacrait une interview à propos de la sortie du premier tome de l'Ordalie. Je travaille actuellement sur le second tome. Je viens de finir le premier jet. Commence maintenant le long travail de correction.

27 Oct 2017

L'Ordalie, tome 2

Fin Août 2017 Iggybook me consacrait une interview à propos de la sortie du premier tome de l'Ordalie. Je travaille actuellement sur le second tome. Je viens de finir le premier jet. Commence maintenant le long travail de correction.

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